Procès de la vendetta de Bastia-Poretta : quand les téléphones ultra-sécurisés se sont mis à « parler »
L’expert informatique qui a « craqué » les messageries PGP utilisées par les accusés a déposé lundi 27 mai devant la cour d’assises des Bouches-du-Rhône, à Aix-en-Provence. Jacques Mariani s’est par ailleurs désolidarisé de ses voisins de box en envoyant l’un de ses avocats assister à l’audience.